On est très heureux chez DBS – Digital Business School d’avoir mené à bien notre projet de lancer le tournoi e-sport à l’été 2022. Ça n’a pas été chose facile, et c’est un vrai travail d’équipe qui a abouti. L’occasion pour nos alternants en communication digitale, en marketing digital ou en e-commerce de donner le meilleur d’eux-mêmes et de mettre en œuvre ce qu’ils ont appris en cours. Petit retour sur la première édition de ce tournoi e-sport : sur le réalisé et sur les perspectives futures.
Le lancement du projet du tournoi e-sport et sa réalisation
DBS – Digital Business School avait déjà essayé de lancer en 2020 un concours de jeux vidéo, mais avec la pandémie, ce projet n’avait pas pu se faire. 2021 avait été une année assez bâtarde avec des confinements et des déconfinements, et donc on ne pouvait pas non plus se projeter et envisager la mise en place d’un événement autour des jeux vidéos.
Il a fallu attendre une perspective un petit peu plus saine pour se lancer. Au début du mois de janvier 2022, avec la vague de vaccination anti-covid, certes nous n’étions pas tirés d’affaires mais au moins on limitait le risque. Ce n’était 100% sûr, mais ce n’était pas non plus 100% incertain. Bref, on pouvait se jeter à l’eau. En tout cas, il le fallait.
C’était sans compter le manque de confiance de nos alternants (ils allaient prendre en charge la mise en place opérationnelle de l’événement). Au tout début de la mise en place du projet, le doute était de mise. Nous avons donc dû rassurer.
Et tout le monde se mit à la tâche.
Bien sûr, il y eut des approximations. Bien sûr, il y eut des imperfections. Mais pour une première, le résultat fut probant. Il y eut des partenaires, il y eut des communications, et il y eut du public. Autrement dit, il y eut tout pour que ce tournoi en fut vraiment un.
Par ailleurs, nos alternants ont vraiment donné le maximum. Et le gagnant du tournoi fut un étudiant de DBS – Digital Business School.
Ce n’était pas le Pérou mais on était sur quelque chose de concluant !
L’avenir du e-sport
L’occasion de raconter pourquoi on a fait un tournoi de jeux vidéo. D’abord, quelques chiffres. L’esport en France, c’est :
- 1,6 millions de joueurs
- 2 manifestations mondiales prévues en 2023 et 2024 : Major Counter Strike et Trackmania Games
- 3 milliards d’euros de revenus générés en 2022
- Déjà 1000 emplois à temps plein en France
Et une bonne partie de cette économie en Ile de France.
Il n’y a aucune raison que l’Occitanie soit en reste. Chez DBS – Digital Business School, on est persuadé de l’avenir de l’e-sport. On pense que l’e-sport va se développer dans les années 2020, au même titre que le football s’est développé à l’orée des années 90. On est convaincu qu’il y a des tournois à créer en région, et des équipes à créer dans les villes moyennes. Aujourd’hui, la France compte 200 joueurs professionnels. Deux cent sur presque 2 millions de gamers. Le marché n’en est qu’à ses balbutiements. Et déjà, ces gamers pro arrivent à remplir des salles comme Bercy…
C’est pourquoi nous avons décidé de participer à cette évolution avec notre concours de jeux vidéo. C’est pourquoi nous allons aussi organiser des rencontres avec des professionnels. C’est aussi pourquoi nous envisageons de proposer une spécialisation spécifique prochainement autour de ces métiers.
E-sport: ce en quoi croit DBS
Une équipe d’e-sport est gérée à la manière d’une écurie sportive. On va retrouver plusieurs types de métiers :
- les métiers du gaming
- les métiers de la communication
- les métiers du marketing
- les métiers du coaching
- les métiers du commerce
Explications. Les métiers du gaming, ce sont les joueurs. Pour être un bon joueur, il faut jouer, encore et encore. Choisir son jeu de prédilection, et s’entraîner. Sauf que – à un moment donné – quand on va jouer en équipe, il va falloir trouver les bons partenaires et trouver le moyen d’évoluer ensemble, de devenir meilleur. Les joueurs vont donc avoir besoin de coachs. Qui vont travailler avec eux la préparation, mais aussi le mental, ou encore les aspects techniques de leur jeu. Voilà pour la dimension esport : joueur et coach. Comme dans une équipe de foot.
Et comme dans le foot, il y a les à côtés. Les gens du marketing et de la communication qui s’occupent de la promotion de l’équipe, fédèrent une communauté autour de l’équipe et promeuvent l’image des joueurs. Des gens du commerce qui négocient les partenariats et qui vont trouver des challenges pour l’équipe.
Et puis il y a l’environnement : les journalistes spécialisés qui permettent de faire vivre l’événement, qui font des publications spécialisées, qui font des reportages.
Vous le voyez, l’écosystème de l’e-sport, c’est beaucoup de métiers potentiels, et notamment beaucoup de métiers compatibles avec l’ADN de DBS – Digital Business School. Voilà donc pourquoi nous sommes très chauds pour apporter notre contribution au développement de l’e-sport dans la région nîmoise. On se donne donc rendez vous pour notre prochain tournoi de jeux vidéo 2023.
