Alors que depuis mi-décembre 2020, le second confinement a été levé, les étudiants de DBS – Digital Business School poursuivent leur année à la maison : cours en visioconférence, alternance en télétravail, partiels à domicile… de quoi mettre à rude épreuve le quotidien des DBStudents.
Aujourd’hui, zoom sur Charlotte, étudiante et apprentie chez DBS – Digital Business School.
Chargée de communication en alternance et étudiante en première année de bachelor, je vais vous partager mon quotidien et toute mon expérience depuis que nous sommes contraints de travailler et d’étudier à domicile : cours en distanciel, baisse de motivation général de la classe, mon quotidien en télétravail, et mon bilan au terme de cette première année.
Etudier à distance
En effet, qui dit confinement, dit perte de repères pour la plupart des étudiants. L’annonce du second confinement a eu un goût plutôt amer. On ne sait pas quand est-ce que l’on pourra revoir ses camarades et retrouver une vie étudiante « normale ». La nécessité de s’adapter au mieux aux nouvelles restrictions, a eu pour conséquence de devoir changer le dispositif pédagogique de l’école.
Fini les cours de communication digitale dans la salle Elon Musk, et les travaux en groupe dans la salle Bill Gates (chez Digital Business School, c’est ainsi que nous nommons nos salles). Rendez-vous tous les matins avec la classe sur Google Meet !
Comme dit dans un premier article que j’avais rédigé en début d’année, je suis étudiante en reconversion. Ce nouveau départ, je l’attendais de pied ferme. Dès le début du confinement, j’ai tenu à conserver des petits rituels pour ne pas perdre le fil : continuer de se préparer normalement le matin, garder un rythme de sommeil régulier, être assidue et relativiser la situation. La règle d’or pour accueillir au mieux tous ces changements, c’est de rester optimiste.
Baisse de morale et premières tensions chez DBS
Pendant les semaines qui ont suivi l’annonce du second confinement, j’ai personnellement noté une baisse de motivation générale pour la plupart d’entre nous : étudiants manquant à l’appel, participation plus rare, relâchement, des tensions se sont installées entre nous et il a fallu gérer. La fatigue s’accumule et c’est justement à ce moment précis qu’il faut tenir le cap.
Heureusement pour nous, chez Digital Business School, la direction est à l’écoute des étudiants et n’hésite pas à prendre contact avec nous pour remonter le moral des troupes lorsque c’est nécessaire. Il faut dire que l’école est parfaitement équipée pour assurer les cours en full distanciel, et garder un lien avec chaque étudiant.
De mon côté, parallèlement à ma première année d’étude, je suis en contrat d’apprentissage. Je suis chargée de communication chez Digital Business School depuis septembre 2020. Tous nos événements ont malheureusement dû être annulés. Et « grâce » à la pandémie, si j’ose dire, j’ai pu expérimenter le télétravail pour la première fois.
Télétravail et confinement : mon quotidien de chargée de communication digitale
Depuis environs trois mois, je poursuis mon apprentissage de la maison, en tant que chargée de communication. Au début du second confinement, il a vite fallu trouver ses marques. Certaines tâches que je réalisais jusqu’alors, telle que l’organisation d’événements, ont dû être repoussées à plus tard, pour des raisons évidentes.
Bien que ne pouvant plus nous retrouver tous les matins Daniela et moi, la Community manager de DBS, nous sommes parvenues jusqu’ici à garder contact et continuer d’échanger sur des missions qui nous sont communes :
- Récolter des témoignages étudiants, imaginer et produire du contenu sur les réseaux sociaux… d’ailleurs, c’est la nouveauté chez Digital Business School, à présent vous pouvez nous retrouver sur Tiktok (@dbsofficiel).
- Les rapports de veille font toujours partie de mes missions principales. La veille consiste à surveiller le web de manière structurée et organisée, afin de se tenir informé de certaines actualités.
- Régulièrement, je fais un bilan avec mon tuteur, Jean-Baptiste. Ça nous permet d’éclaircir certains points. Il veille à ce que certaines compétences soient définitivement acquises, comme la rédaction de communiqué de presse.
- J’ai pu m’entretenir en visioconférence avec l’un de nos intervenants, Mr Glaziou, qui m’a patiemment enseigné les généralités à connaître autour du SEO (référencement naturel), que je me suis empressée de partager à toute l’équipe de DBS. Cela nous aide à rédiger de bons articles de blog sur WordPress (structure, mots clés, balises etc).
- Malgré les restrictions, je continue de contacter les lycées, et les organisateurs de forums étudiants, tous annulés pour la majorité. Nous nous tenons prêts à participer à des forums étudiants virtuels, dont celui du lycée Avenir de Nîmes.
- Lorsque le directeur Sylvain Mieszalski planifie une soirée portes ouvertes en ligne, dédiées aux étudiants curieux d’en savoir davantage sur l’école, je l’assiste côté réglages du son, de la caméra, je lui transmets les questions posées par les internautes, et réponds aux commentaires du live.
- Pour finir, dernièrement je me suis occupée de rédiger le manuel d’utilisation du Ecampus, la plateforme en ligne où tout se passe chez Digital Business School.
Bilan de ma première année chez DBS
Un bilan à ce stade de l’année ? Tout à fait.
Le 10 février 2021, jour de nos derniers partiels, ma première année touche déjà à sa fin. S’en suivra la poursuite de mon apprentissage en full-time jusqu’en septembre. Depuis octobre, tout se fait à distance et la réalité c’est que même en étant à la maison, l’année est vraiment passée trop vite. On peut dire que c’est plutôt bon signe !
Intégrer DBS – Digital Business School m’a apporté beaucoup de positif depuis la rentrée :
- Mes projets professionnels sont plus clairs.
- Après concertation avec les DBS1 (1ère année), nous sommes tous d’accord pour dire que nous nous sentons globalement plus autonomes, tout âge confondu.
- Plus je découvre de nouvelles matières axées digital, plus j’ai envie d’en découvrir d’autres
- Je me sens plus confiante (véridique)
- J’ai hâte d’être en septembre 2021 !
Le mot de la fin
Je ne peux que vous conseiller d’intégrer l’école. Alors n’attendez plus et rejoignez-nous !
