École De Commerce en Alternance

Diplômes reconnus par l’État de niveaux 5, 6 et 7

Womanîmes 2023 : le cycle de conférences des entrepreneures !

Temps de lecture : 4 minutes

DBS – Digital Business School va rééditer son cycle de conférences visant à donner confiance aux jeunes femmes, Womanimes. Ce cycle a pour vocation d’amener les jeunes femmes à s’investir dans le digital et à créer les futures pépites de demain. Il y a aujourd’hui encore des blocages et il est important que DBS – Digital Business School contribue à les lever pour permettre une meilleure inclusivité féminine dans les métiers du digital, en communication digitale, en marketing digital et e-commerce, mais aussi en tech. C’est important aussi de mettre en place ce type d’événement pour permettre à l’écosystème gardois de bénéficier au mieux des potentialités de nos jeunes talents.

Quelques chiffres

Aujourd’hui, le blocage digital est toujours une réalité. Quelques chiffres permettent d’illustrer ce blocage : 

  • 33% des emplois du numérique sont occupés par des femmes selon France Fintech
  • 10% de femmes sont codeurs (estimation Le Figaro)
  • 10% des start ups innovantes sont créées par des femmes (estimation Le Figaro)
  • 47% des lycéennes inscrites dans les filières scientifiques en 2017, 40% en 2021 (source : Education Nationale)
  • 27% des élèves ingénieurs sont des femmes (source : Education Nationale)

On le voit avec ces quelques chiffres, il y a constamment une sous représentation féminine dans les métiers du digital. Ce n’est pas normal ! Rien ne justifie cette différence.

Dans un récent sondage BVA, les français ont exprimé leur incompréhension autour de cette différence.

Ainsi, 83% des Français ne perçoivent pas le digital comme un environnement genré. Néanmoins, à choisir entre les deux genres, ils sont plus nombreux à considérer cet univers comme masculin (14% vs. 3% pour féminin). De même, si globalement les Français encourageraient aussi bien leur fils (91%) que leur fille à travailler dans le digital (88%), on observe un léger écart en défaveur des filles, porté un peu plus par les femmes elles-mêmes (85% encourageraient leur fille à y travailler contre 91% des hommes).

Il y a donc dans les familles un léger biais venant des mamans qui “décourageraient” un peu leurs filles. On compte sur la nouvelle génération de mamans pour changer ça ! 

Les français sont d’ailleurs tout à fait prêts à faire bouger les lignes. Toujours dans l’enquête BVA, les français pensent que pour améliorer l’accès des filles au digital, il faudrait effectuer un travail de long terme sur les stéréotypes (35%) et réprimer plus sévèrement les comportements sexistes ou le harcèlement (33%). Mais aussi développer des rôles modèles (28%) et des actions de sensibilisation comme l’apprentissage du code à l’école (25%) ou un meilleur accès à des formations tout au long de la carrière (24%).

Et bien cela, c’est justement ce que DBS fait avec WOMANIMES.

Womanîmes

L’idée est de proposer un cycle de conférences où il n’y aura que des femmes qui ont réussi dans le digital qui vont parler de leur expérience, et être des “rôles modèles” pour nos étudiantes (et aussi nos étudiants).

On doit casser les stéréotypes, et on doit pouvoir parler de femmes qui créent des business, de femmes qui travaillent l’intelligence artificielle, de femmes qui s’engagent dans le digital.

Et qu’on ne vienne pas nous dire que le digital, c’est trop dur, c’est barbant ou je ne sais quoi d’autre. Le digital, c’est comme tout : ça se travaille. Et tout le monde peut y accéder. Bien qu’aujourd’hui, le monde digital soit perçu comme excluant : à 35 % (et 41 % pour les bac + 2 et plus) dans l’étude BVA, en vérité tout le monde peut faire du digital. Qu’importe son appartenance sociale, son sexe ou bien son niveau de connaissance. Pourvu qu’on s’y mette, tout le monde peut créer avec le digital. Après, c’est le rôle de structures comme DBS – Digital Business School que de le dire et de le montrer. 

On doit dire et redire que travailler dans le digital, c’est tout benef !

Ça donne accès à une grande variété de débouchés, ça permet de trouver facilement du travail, qui plus est avec des salaires attractifs, et c’est un secteur stimulant, en constante évolution. Avec des opportunités partout en France et même à l’étranger.

Les français dans leur ensemble ne s’y trompent pas.

Toujours selon l’étude BVA, 66 % des Français interrogés sont dans un état d’esprit «positif» à l’égard du digital, y voyant de «la simplification» (à 35 %, mais 38 % des bac + 2 ou plus, 41 % des CSP) et des «opportunités» (29 %, puis 35 % et 39 % dans les catégories précitées). 30 % des femmes et 37 % des retraités pointent pourtant sa «complexité». 12 % des Français s’en déclarent «fatigués».

Pourquoi 30% des femmes trouvent le digital complexe ?

Est-ce parce qu’on leur a appris à trouver ça complexe (dans leur famille, dans leur école…) ? Est-ce parce qu’on n’a pas mis suffisamment de moyens pour encourager l’apprentissage du digital pour cette typologie de population (pas suffisamment de cours d’informatique dans les petites classes, pas de lien entre les cours de maths et l’informatique,…) ?

En tout cas, le digital a transformé, et continue de le faire, la vie des français. Au quotidien, dans leurs démarches administratives, dans leurs relations sociales. Il est important que l’on encourage les jeunes femmes à s’investir plus dans le digital, à oser créer des entreprises digitales, à donner le meilleur d’elles mêmes pour s’épanouir dans la créativité digitale. C’est pour cela que DBS – Digital Business School se sent investi du devoir d’aider à la promotion du savoir-faire féminin dans le digital. 

La première édition du Womanimes a été l’occasion de faire trois très belles rencontres. Ça a permis à nos étudiantes de mieux comprendre comment sauter le pas de l’entrepreneuriat digital. Lors de la prochaine édition, nous aurons un nouveau panel de trois femmes. Toujours avec le même objectif.

Par ailleurs, nous encourageons la rencontre entre nos étudiants et des chefs d’entreprises, jeunes et moins jeunes, dans le cadre des rencontres digitales de Gardigital. Notre idée : au plus nos étudiants sont connectés aux réseaux entrepreneuriaux locaux, au mieux ils peuvent sauter le pas à la fin de leurs études.

Sur ça, comme sur Womanimes, plus d’informations vont arriver : stay tuned !

Recherchez un article
Abonnez-vous

En cliquant sur « Ok », vous acceptez les CGU ainsi que notre politique de confidentialité décrivant la finalité des traitements de vos données personnelles.

Table des matières

Progression de lecture
Télécharge la brochure
Découvre l'école grâce à une rencontre privilège !

Mieux qu’une JPO (Journée Portes Ouvertes), la Rencontre Privilège est un rendez-vous planifié en fonction de tes disponibilités, sur le campus ou en visioconférence, et sur mesure, afin de te faire découvrir l’école et de répondre à toutes tes questions.