École De Commerce en Alternance

Diplômes reconnus par l’État de niveaux 5, 6 et 7

Se réorienter dans le marketing digital, toute une histoire

Temps de lecture : 5 minutes

Lundi 7 Juin. Il est neuf heures du matin. Je débute un nouveau poste à Nîmes. Cette ville je ne la connais pas, je viens de la frontière franco – Suisse ou j’ai travaillé deux ans. J’ai juste eu un contact par téléphone avec la cheffe. J’aime me lancer dans l’inconnu et prendre des risques. Malheureusement, ce nouvel emploi se passe très, très mal. Cela finit sur une rupture de période d’essai, je suis déçue mais je tente de me remettre en question. Le souhait de me reconvertir dans le digital me semble encore plus évident.

Je me retourne sur les six années passées dans ce métier et je constate qu’il ne me rend plus heureuse, ne me satisfait plus, et je me lève le matin sans vraiment sentir que je fais quelque chose de grand. La cuisine c’est vraiment un beau métier mais cela m’a épuisé psychologiquement, j’ai besoin d’un nouveau départ.

Le choix de la réorientation

Cela fait six ans que je lorgne sur les formations qui m’intéressent, mais il y a toujours un problème, une embuche, un frein : soit la formation coûte un bras, soit le milieu est difficile d’accès et trouver une alternance relève du défi, soit je ne peux pas m’y inscrire car je suis trop vielle …

Six ans que je m’empêche d’avoir enfin la vie dont je rêve, sans horaires difficiles et sans nourriture sous mes ongles.
Je décide de quitter enfin ce métier. Mais que faire ?

Viens alors l’idée de la reconversion. Cela peut être effrayant, et déroutant, mais cette idée pousse dans ma tête depuis quelques années maintenant. Sans que je sache exactement quoi faire, et ce dont je suis capable, en dehors de la cuisine.

Je sais que je suis capable d’apprendre. Pour se reconvertir, à n’importe quel âge, il faut accepter de « vider sa coupe » pour la remplir de nouveau. Accepter de gagner un salaire d’apprentie de nouveau, le temps d’absorber du savoir. Accepter de changer de rythme, et de retarder ses projets futurs. Accepter de faire des erreurs et d’être une étudiante. Accepter de retourner en classe peut être avec des étudiants beaucoup plus jeunes.

J’étais déterminée. Je me suis alors posé la question : qu’est-ce que j’aime faire ? Quels sont mes points forts, mes points faibles ? Quel genre de métier j’aimerais faire ?

J’ai toujours aimé le contact humain, le challenge de la vente et la communication.

La découverte de DBS – Digital Business School

J’ai également une grande créativité, j’adore créer du visuel, de l’audio, de la vidéo, je dessine, je peins, j’ai même construit des meubles. Je maîtrise déjà les principaux supports de création digitale. J’ai tout le temps mon smartphone dans les mains et j’ai un grand intérêt pour les nouvelles technologies.

Je me suis donc renseignée sur les écoles alentour. En vrai fille du nord, je ne connais pas du tout la région, mais étant tombée amoureuse du sud, je souhaite par-dessus tout y rester et profiter de mon année au soleil.

Nîmes est une petite ville, et je tombe rapidement sur DBS et son carré rouge reconnaissable. Une petite école de e-business qui propose des formations post bac à Nîmes. Une petite école peut-être, mais qui a su se hisser au niveau des grandes selon le classement Eduniversal de 2020-2021 (et dans le TOP 15 – 2022 !).

Je parcours le site internet de l’école, la brochure, puis je me dis : pourquoi pas me lancer dans le e-business ?
Le monde se digitalise, se transforme, se numérise, et il faut avancer avec son temps. Le côté digital de la formation est attirant, comment fabriquer son site web, quelles sont les lois de la jungle sur internet, comment créer une campagne de mail, comment maîtriser les nouveaux outils du digital…

Ce qui a éveillé mon intérêt plus que tout c’est le côté business, car j’ai toujours eu une attirance particulière pour le commerce, qui nécessite des qualités humaines et mobilise mes propres qualités sociales ainsi qu’une grande compréhension des attentes de l’autre.

Intégrer le Bachelor Marketing Digital

Cela fait partie de mes ambitions futures d’avoir un jour, mon propre business. Et même si je ne suis pas sûre de travailler toute ma vie dans le marketing digital et surtout, dans un bureau, je crois qu’il est impératif de savoir valoriser son entreprise en utilisant les outils du digital et en ayant une bonne culture marketing afin de faire grandir l’entreprise.
Dans un monde où les gens passent 7 heures par jours sur leur écran, c’est sur cet écran qu’il faut apprendre à capter leur attention.

Je décide d’appeler, résignée à refaire trois ans d’études pour changer de vie.

Au bout du fil, une sympathique étudiante m’explique les procédures d’admissions et me dit que je peux intégrer directement la troisième année car j’ai un niveau BTS ; je suis très contente : cela veut dire que je n’aurais qu’une seule année à faire pour obtenir mon bachelor niveau bac +3. Au lieu de trois.

Je reste un peu dubitative, car j’ai peur d’être à la ramasse face aux autres élèves et de ne rien comprendre. L’étudiante me rassure : elle aussi ne vient pas d’un cursus classique et s’est réorientée et ça va pour elle. Je me lance finalement dans le processus d’admission de l’école. Après tout, qu’est-ce que j’y perd ?
Quelques jours plus tard, je reçois un premier mail de l’école : on me dirige vers un test en ligne que je passe chez moi. La majorité des questions sont assez simples, on m’interroge notamment sur ma culture générale ; certaines sont plutôt pointues, je m’aide un peu de mon moteur de recherche et ça me fait apprendre pleins de nouveaux mots et de concepts.

Puis j’ai un rendez-vous IRL avec le directeur M.Mieszalski. Cet entretien, je le passe comme une porte vers ma nouvelle vie. Mon cerveau est en ébullition et je donne tout ce que j’ai ; malgré mon parcours un peu étrange, j’arrive à convaincre mon interlocuteur de ma motivation et des raisons qui m’ont amenée ici.

Le lundi suivant je reçois un nouveau mail : je suis admise ! Je mets quelques jours à réaliser, et à remplir mon dossier d’inscription. Je dois aussi finir ma saison car je travaille dans le restaurant du pont du Gard. Savoir que je vais bientôt sortir de tout ceci me transporte et je n’ai qu’une hâte, commencer les cours.

Admise chez DBS – Digital Business School !

Je finis tranquillement ma saison et j’annonce à mes proches que je me réoriente. La peur de ne pas trouver de patron, les dizaines de CV envoyés, l’angoisse du retour à l’école, l’achat de mes fournitures et d’un IPad pour suivre les cours : chaque étape me rapproche un peu plus du concret et de la rentrée. J’ai peur mais j’attends ça depuis tellement longtemps, je refuse de faire marche arrière. Finalement, viens le dernier jour de mon CDD et de ma saison d’été, le samedi quatre septembre 2021 : le dernier jour de ma première vie professionnelle. Une page pleine de souvenirs se tourne.

Lundi 6 septembre. Il est neuf heures du matin. Je débute une troisième année de Bachelor Marketing digital. Cette ville je la connais un peu mieux.

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